Réglementations des sociétés étrangères au Japon

Publié le et rédigé par Cyril Jarnias

Alors que le Japon continue de jouer un rôle crucial sur la scène économique mondiale, ses réglementations complexes et nuancées concernant les sociétés étrangères suscitent un intérêt croissant parmi les investisseurs et les entrepreneurs internationaux. Ce système juridique, souvent perçu comme un labyrinthe bureaucratique, exige une compréhension approfondie pour éviter diverses embûches légales, mais il offre également des opportunités exceptionnelles pour ceux qui savent naviguer avec prudence.

En explorant les subtils mécanismes de contrôle, les exigences de conformité rigoureuses et les secteurs où les investissements étrangers sont encouragés ou limités, cet article vise à démystifier les enjeux et à éclairer les voies pour tirer profit de l’environnement d’affaires nippon.

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Comprendre les bases des réglementations sur les sociétés étrangères au Japon

Définition des entreprises étrangères au Japon

Il n’existe pas de définition légale claire des « entreprises étrangères » (ou entreprises à capitaux étrangers) au Japon, mais généralement, cela concerne les entités remplissant les conditions suivantes :

  • Un investisseur étranger détient au moins un tiers des actions ou des parts, et est le principal contributeur avec une participation de 10 % ou plus.
  • Une entité japonaise créée par une entreprise étrangère ou une succursale opérant au Japon.

Objectif principal de l’application des réglementations

Les réglementations à l’encontre des entreprises étrangères visent principalement à :

  • Sécurité nationale : Limiter l’influence sur les industries clés telles que les infrastructures sociales et les télécommunications.
  • Sécurité publique et maintien de l’ordre : Empêcher les interférences inappropriées externes dans certains secteurs.

À titre d’exemple, la Loi sur les ondes radio et la Loi sur la diffusion limitent la participation étrangère dans le secteur de la radiodiffusion à moins de 20 %, et la Loi sur les changes et le commerce extérieur (FEFTA) nécessite une déclaration pour l’acquisition de plus de 10 % des actions d’une société liée aux infrastructures sociales.

Principaux organismes de réglementation et leur rôle

  1. Ministère des Finances et Banque du Japon :
    – Examen et gestion des rapports d’investissements directs entrants en vertu de la FEFTA.
  2. Ministères compétents pour chaque secteur :
    – Surveillance des industries spécifiques (télécommunications, aviation, etc.). Par exemple, le ministère des Affaires intérieures et des Communications est responsable de la réglementation des télécommunications.
  3. Commission de la concurrence :
    – Mise en œuvre des politiques de prévention des transactions déloyales et des politiques antitrust.

Ces organismes ont chacun l’autorité de superviser les activités des entreprises étrangères dans leurs domaines spécialisés.

Procédures d’enregistrement, d’établissement et exigences de gestion

Lors de l’établissement d’une entreprise au Japon par un étranger ou une entité à l’étranger, les étapes suivantes sont nécessaires :

  1. Rédaction des statuts et obtention de leur certification par un notaire.
  2. Demande d’enregistrement après le dépôt du capital (un minimum de 5 millions de yens est recommandé).
  3. Obtention des autorisations nécessaires (selon le contenu de l’activité) et soumission des déclarations aux autorités compétentes.
  4. Demande de visa de gestion et de contrôle (le cas échéant).

Des documents spécifiques tels que les informations sur les fondateurs, les détails du compte bancaire, et les contrats signés sont requis. De plus, il est obligatoire de désigner un représentant au Japon.

Exemple d’impact en cas de non-respect des règles

En cas de violation des règles, des mesures sévères telles que des amendes ou des ordres de suspension d’activité peuvent être appliquées. Par exemple, certaines stations de radiodiffusion ont été confrontées à des ordres d’amélioration de la gestion après la découverte de dépassements des seuils de participation étrangère.

Pour éviter de telles situations, il est essentiel de mettre en place un système de conformité rigoureux et continu. Ainsi, l’entrée sur le marché japonais nécessite une conformité juridique étendue et une planification prudente.

Bon à savoir :

Au Japon, une société étrangère est définie comme une entité commerciale enregistrée à l’extérieur du pays mais qui souhaite opérer sur le territoire japonais. Les principales réglementations visent à garantir une concurrence équitable et à protéger l’économie nationale, s’appuyant sur la Loi sur les sociétés du Japon et la Loi sur la concurrence. Le ministère de l’Économie, du Commerce et de l’Industrie (METI) et la Commission de la concurrence (Fair Trade Commission) sont les principaux régulateurs, chargés de superviser le respect des lois en matière d’investissements et de pratiques commerciales. Pour enregistrer une société étrangère, il est nécessaire de déposer un avis d’établissement auprès du bureau d’immigration japonais et de s’immatriculer au registre du commerce local, assorti de documents tels que les statuts de la société et un certificat de domicile de représentant. Le non-respect de ces réglementations peut entraîner des sanctions sévères, y compris des amendes et la suspension d’activités, comme en témoigne le cas d’entreprises ayant ignoré l’examen des investissements étrangers par le METI.

Processus d’enregistrement pour les filiales de sociétés étrangères

Cadre juridique applicable à l’établissement de filiales par des entreprises étrangères au Japon

Principales lois applicables

  • Loi sur le contrôle des changes et le commerce extérieur (Foreign Exchange and Foreign Trade Act): Lorsqu’une entreprise étrangère établit une filiale au Japon, une notification préalable est requise pour certains secteurs spécifiques (par exemple, la cybersécurité, l’industrie électrique). En général, un rapport a posteriori est également obligatoire.
  • Loi sur les sociétés: Les formes juridiques au Japon incluent la société anonyme (Kabushiki Kaisha) ou la société à responsabilité limitée (Godo Kaisha). Ces entités juridiques sont indépendantes, et la société mère n’assume qu’une responsabilité limitée sur les créances et dettes résultant de leurs activités.

Procédure de création d’une filiale

  1. Détermination des éléments essentiels
    – Décision du nom commercial, du siège social, des activités et de la composition des dirigeants.
  2. Préparation des documents
    – Rédaction et authentification des statuts
    – Certificat d’immatriculation de la société mère, certificat de signature du représentant, déclaration sous serment, etc. (si nécessaire).
  3. Versement du capital
    – Le montant du capital est déposé sur un compte bancaire. Aucun capital minimum n’est requis par la loi, mais il est recommandé de fixer un montant suffisant pour améliorer la crédibilité.
  4. Demande d’enregistrement
    – Inscription commerciale auprès du bureau juridique. Un « certificat de versement » et une « déclaration de bénéficiaire effectif » sont nécessaires pour cela.
  5. Conformité avec la loi sur le contrôle des changes
    – Soumission d’une notification préalable ou d’un rapport a posteriori selon le secteur.

Autorités compétentes et délais

– Demande d’enregistrement : Soumise au bureau juridique compétent du siège social, complétée en environ une semaine.
– Questions liées à la loi sur le contrôle des changes : Il existe des délais pour la soumission des notifications et des périodes d’examen (dans les 30 jours).

Comparaison avec une succursale

Tableau comparatif entre filiale et succursale au Japon

CaractéristiquesFilialeSuccursale
Personnalité juridiqueEntité indépendanteEntité de l’entreprise étrangère
Étendue de la responsabilitéLimite du capital investiResponsabilité de l’entreprise mère entière
Procédures de créationAuthentification des statuts, versement du capital, etc.Relativement simples
FiscalitéImposition autonomeImposition de la maison mère

Dans le cas d’une succursale, elle est traitée au Japon comme une partie intégrante de l’entreprise mère et ne possède pas d’autonomie. Ainsi, elle peut être créée par un processus plus simple que celui d’une filiale, mais peut souvent être désavantagée en termes de fiscalité et de crédibilité.

Aspect fiscal et exigences en matière de capital minimum

– Les filiales sont généralement soumises à l’impôt sur les sociétés et aux taxes locales selon les normes japonaises. Pour les « grands capitaux » (par exemple, au-delà de 500 millions de yens), elles peuvent être soumises à des obligations d’audit et à des impositions additionnelles.
– Bien qu’aucune exigence de capital minimum ne soit imposée, fixer un montant suffisamment élevé contribue souvent à améliorer la crédibilité.

Pour tous ces aspects, la collaboration avec des experts est essentielle.

Bon à savoir :

Pour les filiales de sociétés étrangères au Japon, le processus d’enregistrement est régi principalement par la Foreign Exchange and Foreign Trade Act et la Companies Act, nécessitant le dépôt de divers documents tels que l’acte constitutif, les statuts et une preuve de domiciliation. Le processus commence par l’obtention d’un visa d’investisseur-gérant auprès du Bureau d’immigration, avant l’enregistrement officiel au registre du commerce local dans des délais d’environ deux à trois semaines. Comparé aux branches d’entreprises étrangères, les filiales exigent un capital social minimal, généralement fixé à 1 yen, bien que des attentes plus élevées soient fréquentes pour prouver la viabilité de la filiale. Les implications fiscales incluent une obligation de paiement d’impôt sur les sociétés sur les revenus mondiaux, contrairement aux branches qui ne sont imposées que sur les revenus générés au Japon. Des étapes supplémentaires incluent la notification de l’application au ministère compétent pour certaines industries spécifiques, où des délais variés peuvent s’appliquer.

Distinctions entre filiales et succursales au Japon

Lorsqu’une entreprise étrangère entre sur le marché japonais, choisir entre une filiale et une succursale est une décision importante. Il existe de nombreuses différences entre les deux, notamment en termes de statut juridique, de fiscalité et d’étendue des responsabilités.

Statut juridique

Une filiale est une entreprise dotée d’une personnalité juridique indépendante établie conformément aux lois japonaises. Elle prend généralement la forme d’une société par actions ou d’une société à responsabilité limitée. En revanche, une succursale est un département de l’entreprise étrangère et ne possède pas de personnalité juridique indépendante.

Une filiale est créée sur la base de la loi japonaise sur les sociétés, nécessitant la création de statuts, le versement d’un capital et l’enregistrement de la création, tandis qu’une succursale doit être enregistrée en tant que succursale d’une entreprise étrangère, mais les procédures sont relativement simples.

Responsabilité légale

En tant qu’entité indépendante, la filiale assume ses propres dettes et responsabilités légales. La responsabilité de la maison mère est limitée à l’apport en capital. Dans le cas d’une succursale, la maison mère étrangère assume toutes les responsabilités légales découlant de ses activités.

Par exemple, Toyota Motor North America, la filiale américaine de Toyota, fonctionne comme une entité indépendante, et ses dettes n’affectent pas le siège social de Toyota.

Traitement fiscal

Une filiale est imposée sur ses revenus mondiaux en tant qu’entité japonaise. Dans le cas d’une succursale, seuls les revenus générés au Japon sont imposables.

La filiale effectue une comptabilité indépendante et établit ses états financiers selon les normes comptables japonaises. La succursale est considérée comme faisant partie de la comptabilité de la maison mère, mais des registres conformes aux normes comptables japonaises sont nécessaires pour la déclaration fiscale japonaise.

La réforme fiscale de 2023 a renforcé le régime fiscal des filiales étrangères (régime CFC), introduisant un cadre plus strict pour inclure les revenus des filiales étrangères dans le revenu de la maison mère japonaise.

Étendue des activités commerciales

En tant qu’entité indépendante, une filiale peut mener une gamme étendue d’activités commerciales. Une succursale peut généralement mener des activités similaires, mais dans certaines industries réglementées, le déploiement des activités par une succursale peut être limité.

Par exemple, dans le secteur bancaire, la création d’une entité japonaise (filiale) est généralement requise. Les grandes banques japonaises comme Mizuho Bank ou MUFG Bank établissent souvent des filiales locales lorsqu’elles s’implantent à l’étranger.

Financement

En tant qu’entité indépendante, une filiale peut lever des fonds en émettant des actions ou des obligations. Une succursale dépendra de l’apport de fonds de la maison mère.

La filiale américaine de SoftBank Group, SoftBank Group Capital Limited, émet de manière indépendante des obligations pour lever des fonds.

Considérations stratégiques en matière de business

  • Fiabilité sur le marché : Le marché japonais a tendance à considérer les filiales comme plus fiables que les succursales, ce qui peut être un avantage dans l’établissement de relations avec les partenaires commerciaux et les clients.
  • Autonomie décisionnelle : En tant qu’entité avec sa propre direction, une filiale peut prendre des décisions rapidement et en adéquation avec le marché local, tandis qu’une succursale doit suivre les directives de la maison mère, ce qui peut ralentir la prise de décision.
  • Facilité de retrait : Une succursale est plus facile à fermer qu’une filiale, pour laquelle les procédures de liquidation peuvent être complexes.
  • Image de marque : Une filiale peut facilement créer sa propre marque, tandis qu’une succursale utilise directement la marque de la maison mère.

Modifications législatives récentes

La révision de la loi sur les sociétés de 2023 a introduit un système de fourniture électronique des documents de l’assemblée générale, influençant la gestion des filiales. À partir d’avril 2024, le système de facturation électronique sera mis en place, exigeant une réponse adéquate tant de la part des filiales que des succursales.

Lorsqu’une entreprise étrangère envisage d’entrer sur le marché japonais, le choix entre une filiale et une succursale doit être déterminé en tenant compte de divers facteurs tels que la taille de l’activité, le secteur et la stratégie à long terme. Il est essentiel d’examiner attentivement les impacts juridiques et fiscaux et de consulter des experts pour obtenir des conseils.

Bon à savoir :

Au Japon, les filiales sont des entités distinctes et juridiquement indépendantes de leur société mère étrangère, bénéficiant de la personnalité morale, ce qui les soumet aux lois japonaises, notamment en matière d’imposition et de responsabilité légale, alors que les succursales, non dotées de la personnalité morale, représentent directement leur maison-mère, avec des obligations fiscales moins complexes mais un risque accru de responsabilité pour l’entreprise mère. Par exemple, Toyota a choisi d’établir plusieurs filiales pour optimiser ses avantages fiscaux et légaux, tandis que des entreprises de services temporaires telles qu’Uber préfèrent souvent l’approche des succursales pour une entrée plus rapide sur le marché. Le choix entre filiale et succursale est souvent guidé par des objectifs stratégiques, comme le désir de tester le marché japonais à moindres coûts ou de s’ancrer solidement via une entité totalement contrôlée. Il est également crucial de considérer les récentes réformes japonaises en matière de comptabilité et de reporting qui impactent considérablement les filiales, en rendant le processus plus transparent mais aussi plus contraignant administrativement.

Considérations légales pour les sociétés étrangères opérant au Japon

Les exigences réglementaires, d’enregistrement et de conformité auxquelles les entreprises étrangères doivent se conformer lors de l’expansion de leurs activités au Japon sont détaillées ci-dessous.

1. Impact de la Loi sur les devises et le commerce extérieur (FEFTA)

La FEFTA est la principale législation régulant les investissements étrangers réalisés au Japon. Du point de vue de la sécurité nationale et de la politique économique, dans certaines conditions, une notification préalable ou un rapport a posteriori est exigé.

  • Notification préalable : Lors d’investissements ou d’acquisitions d’actions dans des secteurs désignés (communications, aviation, défense, etc.), un examen sous 30 jours par le ministre des Finances et le ministre compétent est nécessaire. Notamment depuis la révision de 2019, certaines entreprises stratégiques doivent notifier pour une prise de participation de 1% ou plus.
  • Réglementation par lois sectorielles spécifiques : La loi sur les télécommunications, la loi sur l’aviation, etc., limitent également la part du capital étranger dans certaines industries pour prévenir toute dépendance excessive sur des éléments critiques pour la sécurité nationale.

2. Propriété étrangère et coentreprises

Au Japon, la création d’une filiale détenue à 100% par des étrangers est souvent possible, mais certaines industries (telles que les télécommunications et la radiodiffusion) imposent des restrictions quant aux droits de vote et à la composition des dirigeants. D’autre part, le format de coentreprise est efficace pour établir des relations collaboratives avec des partenaires locaux, bien que même dans ce cas, la rédaction stricte des contrats et le respect des lois applicables soient requis.

3. Obligations fiscales

Les entreprises étrangères sont sujettes à l’imposition sur le revenu des sociétés au titre des revenus générés au Japon. Dans le cas d’une succursale, seuls les revenus de source japonaise sont imposés, tandis que pour une filiale, l’ensemble de ses revenus est concerné. En outre, il convient de prêter attention à la taxe sur la consommation et au système de retenue à la source.

4. Transfert de technologie et réglementation de la protection des données

Le transfert de technologie est soumis à un contrôle strict dans le cadre du système de gestion des exportations. Par exemple, l’exportation de technologies avancées nécessite un processus de demande d’autorisation. De plus, la loi sur la protection des informations personnelles (APPI) définit en détail les exigences de consentement et les méthodes de gestion appropriées lors des transferts de données, nécessitant ainsi une préparation de stratégies de conformité par les entreprises multinationales.

5. Choix de la forme juridique : succursale vs filiale

  • Succursale (Branch) : Procédure simple mais champ d’activité limité. Responsabilité illimitée de la maison mère.
  • Filiale (Subsidiary) : Entité juridique indépendante offrant une plus grande liberté. Cependant, les procédures de création sont complexes et les coûts de maintenance peuvent augmenter.

6. Exemples récents de révisions et de réformes législatives

Ces dernières années, dans le cadre des mesures de réponse au COVID-19, des révisions de la FEFTA ont été mises en place pour renforcer la surveillance des acquisitions dans le secteur des dispositifs médicaux. Par ailleurs, des politiques antimonopoles renforcées pour promouvoir la concurrence du marché numérique ont également été mises en avant.

Dans ce contexte de réformes, il est essentiel d’améliorer les capacités de prévision des nouveaux risques commerciaux. Les défis spécifiques incluent le risque d’intervention imprévue des autorités en raison de l’incertitude et l’augmentation de la charge des procédures nécessitant des connaissances spécialisées, d’où la recommandation de solliciter l’assistance d’experts.

Bon à savoir :

Pour opérer légalement au Japon, les sociétés étrangères doivent s’enregistrer auprès du Bureau de l’immigration et respecter la Loi sur les changes et le contrôle du commerce extérieur, qui impose notamment des restrictions sur la propriété étrangère dans certains secteurs stratégiques et sur les joint ventures. Les entreprises sont soumises à des obligations fiscales précises, incluant l’impôt sur les sociétés et des retenues à la source spécifiques. Le transfert de technologie et de données doit se conformer aux réglementations strictes sur la protection des données personnelles et le contrôle des exportations. Les succursales et les filiales sont traitées différemment, les premières n’étant pas des entités juridiques distinctes et donc responsables de leurs obligations à leur maison-mère, tandis que les filiales, considérées comme des sociétés japonaises, sont soumises à des législations locales plus rigoureuses. Les évolutions législatives récentes incluent des réformes fiscales visant à attirer les investissements étrangers, bien qu’elles puissent présenter des défis, comme une interprétation stricte des lois sur le travail, illustrant la nécessité pour les entreprises de se familiariser avec la législation locale pour éviter des sanctions.

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A propos de l'auteur
Cyril Jarnias

Cyril Jarnias est un expert indépendant en gestion de patrimoine internationale avec plus de 20 ans d'expérience. Expatrié, il se consacre à aider les particuliers et les chefs d'entreprise à construire, protéger et transmettre leur patrimoine en toute sérénité.

Sur son site cyriljarnias.com, il développe son expertise sur l’immobilier international, la création de société à l’étranger et l’expatriation.

Grâce à son expertise, il offre des conseils avisés pour optimiser la gestion patrimoniale de ses clients. Cyril Jarnias est également reconnu pour ses interventions dans de nombreux médias prestigieux tels que BFM Business, les Français de l’étranger, Le Figaro, Les Echos ou encore Mieux vivre votre argent, où il partage ses connaissances et son savoir-faire en matière de gestion de patrimoine.

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