Créer une société au Japon : comparatif OOD vs AD

Publié le et rédigé par Cyril Jarnias

Créer une société au Japon représente un défi passionnant pour les entrepreneurs étrangers, confrontés à un écosystème complexe mais fertile. Le choix de la forme juridique, entre les options OOD (Office of Organizational Design) et AD (Associated Design), est crucial pour déterminer le succès à long terme. Comprendre les nuances de chaque structure, notamment en termes de flexibilité opérationnelle, de charges fiscales et de responsabilités légales, est crucial pour naviguer dans le cadre réglementaire spécifique du Japon. Cet article vous guidera à travers ces différences essentielles, vous permettant de prendre une décision éclairée et stratégique pour maximiser votre implantation sur le marché japonais.

Comprendre les différences entre OOD et AD au Japon

Les formes d’entreprise les plus courantes au Japon sont la société à responsabilité limitée (OOD : Limited Liability Company) et la société par actions (AD : Joint Stock Company). Nous comparons les caractéristiques, le cadre juridique, la structure de gouvernance, ainsi que les obligations fiscales et réglementaires de chacune.

Définition et cadre juridique

  • Société à responsabilité limitée (OOD) : Une forme d’entreprise relativement nouvelle introduite en 2006, où les investisseurs participent également à la gestion de l’entreprise. Elle adopte un système de responsabilité limitée et est populaire parmi les PME et les start-ups.
  • Société par actions (AD) : La forme d’entreprise la plus courante au Japon, souvent utilisée pour les grandes entreprises ou celles ayant l’intention d’être cotées en bourse. Elle se caractérise par la séparation entre les investisseurs (actionnaires) et les dirigeants.

Structure de gouvernance

– Dans une société à responsabilité limitée, les membres (investisseurs) prennent directement des décisions. Les questions importantes sont décidées lors de l’assemblée générale des membres, et un membre représentant ou un membre exécutif est chargé de la gestion quotidienne.

– Dans une société par actions, la gestion est assurée par des administrateurs choisis lors de l’assemblée générale des actionnaires. En présence d’un conseil d’administration, il existe également des instances de décision plus détaillées.

Comparaison des structures de gouvernance
ÉlémentSociété à responsabilité limitéeSociété par actions
PropriétairesMembresActionnaires
DécisionAssemblée des membresAssemblée des actionnaires/Administrateurs
Liberté de gestionHautePlus de restrictions

Obligations fiscales et réglementaires

  1. Coût de création :
    • La création d’une société à responsabilité limitée est peu coûteuse et ne nécessite pas la certification d’un acte notarié.
    • La société par actions entraîne des coûts initiaux plus élevés, tels que les taxes d’immatriculation et les frais de notaire.
  2. Publicité des comptes :
    • Une société à responsabilité limitée n’a pas l’obligation de publier ses comptes, alors qu’une société par actions doit le faire.
  3. Système d’audit :
    • La société à responsabilité limitée n’a pas l’obligation de nommer des commissaires aux comptes. En revanche, une grande société par actions est tenue de nommer un commissaire aux comptes ou un comité d’audit.

Impact financier

  1. Exigences en capital minimum : Les exigences en capital minimum ont été abolies pour les deux formes au Japon. Toutefois, un fond de roulement suffisant reste nécessaire.
  2. Répartition des bénéfices :
    • Dans une société à responsabilité limitée, la méthode de répartition des bénéfices peut être définie de manière flexible (par exemple, partage égal).
    • Dans une société par actions, les bénéfices sont généralement distribués en fonction de la part détenue.

Exemples concrets

– Google Japan G.K. ou Apple Japan G.K. : Des entreprises étrangères choisissent parfois la forme de société à responsabilité limitée pour sa flexibilité.

– Toyota Motor Corporation ou Sony Group Corporation : Pour des entreprises de grande envergure, la forme de société par actions offre une crédibilité sociale élevée et des moyens de financement diversifiés.

Avantages et inconvénients

  1. Société à responsabilité limitée :
    • Avantages : Coût de création faible, flexibilité élevée
    • Inconvénients : Manque de notoriété, capacité limitée à traiter de grands projets d’investissement
  2. Société par actions :
    • Avantages : Crédibilité sociale élevée, capacité à répondre à divers investisseurs
    • Inconvénients : Coûts accrus

Conseils sur les critères de choix

Considérer les points suivants peut mener à un choix approprié :

  • Accent sur la réduction des coûts initiaux → Société à responsabilité limitée recommandée
  • Assurer la fiabilité/expansion à grande échelle → Société par actions recommandée
  • Prioriser la liberté de gouvernance → Société à responsabilité limitée nécessaire

Il est également essentiel de s’assurer de la cohérence avec la vision de l’entreprise et de l’adéquation avec les plans à long terme lors de la création d’une entreprise.

Bon à savoir :

Au Japon, « ood » désigne une « Ordinary Operating Division » tandis qu' »ad » signifie « Advanced Division », chacun représentant des structures légales spécifiques pour les sociétés; l’ood se caractérise par une gestion plus traditionnelle avec un conseil d’administration structuré, requérant souvent un capital social minimal élevé, tandis que la société ad permet une flexibilité accrue dans les opérations et une responsabilité limitée des actionnaires. Les compagnies ood, comme Hitachi, doivent suivre des réglementations fiscales strictes et sont souvent soumises à des audits externes, à l’inverse des ad qui sont plus adaptées aux entreprises innovantes et startups, favorisant l’agilité et un accès simplifié au capital. Les ad présentent l’avantage de réduire le risque pour les actionnaires grâce à une protection accrue, mais peuvent être pénalisées par des obligations de reporting complexes. Lorsque vous créez une entreprise au Japon, considérez votre budget initial, votre tolérance au risque et votre besoin de flexibilité pour choisir entre ces deux structures, tout en tenant compte de l’environnement réglementaire et du marché cible.

Avantages et inconvénients de l’OOD pour créer une société au Japon

Avantages :

  • Simplicité du processus et rentabilité
    Lorsqu’on utilise l’OOD pour créer une entreprise au Japon, le temps et les coûts sont considérablement réduits par rapport aux procédures traditionnelles en personne. Les candidatures en ligne et les processus numérisés réduisent les obstacles bureaucratiques, permettant une création d’entreprise rapide et efficace.
  • Flexibilité et efficacité
    La configuration en ligne n’est pas limitée par le lieu ou le temps, offrant la flexibilité de procéder aux démarches depuis n’importe où dans le monde. De plus, cette méthode simplifie particulièrement les tâches administratives complexes, et souvent, elle améliore la vitesse de traitement grâce à des systèmes automatisés.
  • Expansion de l’accès au marché
    L’exploitation basée sur Internet permet un accès facile non seulement au marché japonais, mais également aux marchés internationaux. Cela élargit les opportunités de contact avec diverses clientèles et fournisseurs, ce qui est également un avantage pour les entreprises japonaises cherchant à se développer mondialement.

Inconvénients :

  • Problèmes de conformité réglementaire
    Au Japon, il est nécessaire de se conformer au droit commercial local. Par exemple, en ce qui concerne les déclarations fiscales ou la gestion des livres comptables, une expertise spécifique aux règles japonaises est requise. De plus, certains secteurs imposent des conditions supplémentaires telles que la localisation physique ou des exigences de résidence pour le représentant légal.
  • Problèmes de confiance et difficulté à établir des relations de confiance
    Ne pas avoir de bureau physique peut être perçu comme un facteur d’incertitude pour la construction de relations de confiance avec les partenaires locaux. Certains clients préfèrent souvent un environnement où ils peuvent rencontrer directement et où une présence réelle contribue à la création de confiance, ce qui peut être un inconvénient.
  • Risques liés à la technologie
    L’utilisation d’Internet comporte des préoccupations de sécurité. Les mesures de prévention contre les fuites de données personnelles et les cyberattaques sont indispensables, mais peuvent être un fardeau financier pour les petites entreprises. De plus, le manque de compétences numériques peut entraîner des erreurs de manipulation et des problèmes.
Comparaison entre OOD et AD
ÉlémentOODAD
ProcessusCentré sur en ligne, rationaliséSoumission de documents, visites au guichet
CoûtCoût relativement basInvestissement initial et coûts de maintenance élevés
CrédibilitéPeut être mal évalué par les partenaires locauxHaut niveau de confiance, ancré localement
Conformité légaleComplexe dans certaines conditionsClair mais nécessite beaucoup de vérification en personne
Dépendance technologiqueÉlevéeFaible

De ce qui précède, la création d’une entreprise par le biais de l’OOD au Japon présente certains avantages. Cependant, lors de l’évaluation de cette option, un jugement global tenant compte de ses propres besoins spécifiques ou des lacunes du modèle d’entreprise est nécessaire.

Bon à savoir :

L’utilisation de l’ood pour créer une société au Japon présente des avantages notables, tels que sa simplicité et son coût réduit par rapport au processus de domiciliation physique traditionnelle. Elle offre une flexibilité accrue et des gains d’efficacité, notamment en limitant les obstacles bureaucratiques et en permettant un démarrage plus rapide. En ligne, les entrepreneurs peuvent accéder à un réseau élargi de clients et de fournisseurs, ce qui est difficile à reproduire avec une installation physique. Toutefois, plusieurs défis subsistent. Juridiquement, il peut être complexe de garantir la conformité avec les régulations locales, et l’absence de présence physique peut poser des problèmes de crédibilité auprès des partenaires locaux. De plus, certains peuvent rencontrer des difficultés technologiques, telles que des préoccupations de cybersécurité ou des lacunes en littératie numérique des partenaires. Comparativement, l’ad fournit une présence tangible, ce qui renforce souvent la confiance des parties prenantes, mais au détriment de la réactivité et la souplesse qu’offre l’ood.

Pourquoi choisir AD : une analyse approfondie des bénéfices

Aspects juridiques : procédures administratives simplifiées et avantages fiscaux

  • Avantages de la société à responsabilité limitée (LLC)
    • Coût de création réduit : la taxe d’enregistrement commence à 60 000 yens, ce qui est nettement moins cher que les 150 000 yens de la société par actions. De plus, l’authentification des statuts n’est pas nécessaire, ce qui permet d’économiser les frais de notaire.
    • Réduction des coûts de fonctionnement : il n’est pas obligatoire de tenir des réunions du conseil d’administration ou des assemblées générales des actionnaires, et il n’y a pas de limitation de mandat pour les exécutants, ce qui permet de réduire les coûts supplémentaires tels que les modifications d’enregistrement.
    • Sur le plan fiscal, la répartition des bénéfices peut être configurée de manière flexible. Il est possible d’adopter une méthode de répartition des bénéfices basée sur des éléments autres que le ratio d’investissement, ce qui est adapté aux petites entreprises ou aux entreprises familiales.
  • Avantages de la société par actions (AD)
    • Amélioration de la fiabilité : elle bénéficie d’une crédibilité élevée à l’extérieur, ce qui est un atout lors de transactions avec de grandes entreprises ou pour obtenir des prêts des institutions financières.
    • Capacité à attirer les investissements : elle permet de mobiliser facilement des investissements importants par le biais de l’introduction en bourse, ce qui la rend adaptée aux grandes entreprises.

Flexibilité opérationnelle et rapidité

  • Société à responsabilité limitée (LLC)
    • Grande liberté de gestion et processus de décision simple. La gestion rapide est possible avec l’accord de tous les membres ou uniquement par décision des membres exécutifs.
    • Facilité à établir des règles spécifiques dans le cadre de l’autonomie des statuts en tant qu’obligation légale. Cela permet de construire un système de gestion adapté aux réalités.
  • Société par actions (AD)
    • Bien que le système de gouvernance soit structuré grâce à la séparation entre propriété et gestion, le processus décisionnel multicouche nécessite du temps et des efforts pour sa mise en œuvre. Cependant, cette structure est également un atout pour les grandes organisations.

Incitation économique et impact sur la croissance et la durabilité

En tant que type de contrat, la LLC permet de réduire les coûts de démarrage, ce qui allège le fardeau sur le flux de trésorerie initial et, dans de nombreux cas, permet de concentrer les ressources sur la réinvestissement des bénéfices. Cette caractéristique est particulièrement efficace pour les entreprises en phase de croissance initiale.

Exemples concrets

Par exemple, au Japon, la structure de LLC est choisie par des petites startups IT et des propriétaires d’entreprises qui sont passés de l’entrepreneuriat individuel à l’incorporation, avec pour raisons invoquées les coûts réduits, la rapidité, et l’accent sur l’adaptabilité aux variations du marché. On peut également observer des cas de succès de démarrage rapide à travers des exemples de construction de plateformes de vente en ligne utilisant Shopify.

Bon à savoir :

Opter pour ad lors de la création d’une société au Japon présente des avantages législatifs notables, tels que des procédures administratives simplifiées et des allégements fiscaux spécifiques, contrastant avec la flexibilité opérationnelle offerte par ood. En effet, ad facilite l’enregistrement rapide d’une entreprise, permettant de démarrer les activités plus vite, avec un cadre favorable à la durabilité et à la croissance à long terme. Par exemple, des entreprises telles que ABC Corp ont profité d’ad pour optimiser leurs charges fiscales et accélérer leur expansion sur le marché japonais. Comparé à ood, ad propose des incitations économiques qui encouragent l’innovation et la compétitivité. Ces éléments font d’ad un choix stratégique pour les entrepreneurs cherchant stabilité et efficacité économique.

Guide pratique pour choisir la structure juridique adaptée à votre projet au Japon

Introduction : L’importance du choix de la structure juridique

Lors du démarrage d’une entreprise au Japon, le choix d’une structure juridique appropriée est crucial pour la réussite de l’activité. La flexibilité nécessaire pour gérer et développer l’entreprise, la capacité à gérer les risques financiers et juridiques, ainsi que la conformité fiscale dépendent largement de ce choix. De plus, concevoir une structure conforme aux réglementations et aux systèmes spécifiques de la loi sur les sociétés au Japon est essentiel pour un développement d’entreprise efficace et légal.

Principales structures juridiques disponibles et leur descriptif

Voici les principales structures juridiques généralement utilisées au Japon et leurs caractéristiques.

  1. Kabushiki Kaisha, KK
    • La forme sociétaire la plus largement utilisée.
    • Exigence de capital social.
    • Responsabilité limitée des actionnaires (à hauteur du capital investi).
    • Exigences strictes en matière de gouvernance (obligation d’établir un conseil d’administration, etc.).
    • Possibilité de cotation en bourse.
  2. Godo Kaisha, GK
    • Forme juridique relativement nouvelle, adaptée aux PME et aux startups.
    • Exigence de capital social mais possibilité d’établissement à faible coût.
    • Propriétaires = gestionnaires offrant une grande flexibilité.
    • Moins d’exigences de gouvernance que la KK.
  3. Succursale
    • Considérée comme une partie d’une entreprise étrangère et n’a donc pas de personnalité juridique distincte.
    • Enregistrement nécessaire mais adaptée à une opération de petite envergure.
    • La déclaration fiscale peut parfois être intégrée avec le siège social étranger.
  4. Bureau de représentation
    • Exclusivement dédié aux études de marché et à la collecte d’informations. Activités lucratives interdites.
    • Pas d’enregistrement requis. Souvent, aucune obligation fiscale.
Comparaison des structures juridiques
FormeResponsabilité financièreFiscalitéCoûts de créationExigences de gouvernance
Kabushiki Kaisha (KK)Responsabilité limitée des actionnairesAssujetti à l’impôt indépendant, normes japonaises appliquéesÉlevés (taxe sur l’enregistrement, etc.)Strictes (conseil d’administration obligatoire, etc.)
Godo Kaisha (GK)Responsabilité limitée des investisseursAssujetti à l’impôt indépendant, normes japonaises appliquéesRelativement faibles (procédures simplifiées)Flexibles
SuccursaleResponsabilité illimitée de la société mère (charge conjointe du siège social)Intégration possible avec le siège étrangerFaibles
Bureau de représentationAucune responsabilité financièreSouvent non assujetti à l’impôtAucun

Bon à savoir :

Choisir la structure juridique adaptée lors de la création d’une société au Japon est crucial pour définir les responsabilités et optimiser les aspects fiscaux et opérationnels. Les options incluent la société par actions (Kabushiki Kaisha) et la société à responsabilité limitée (Godo Kaisha), chacune ayant ses propres caractéristiques en termes de responsabilité financière, de fiscalité et de coût de formation. Par exemple, une Kabushiki Kaisha nécessite généralement plus de capital initial et d’exigences de gouvernance, tandis qu’une Godo Kaisha est souvent plus simple et moins coûteuse à établir. Pour les entreprises ne prévoyant pas une présence juridique importante, les succursales ou bureaux de représentation peuvent être adéquats, offrant une alternative flexible. Le choix dépendra de la taille de votre entreprise, du secteur d’activité et de vos objectifs commerciaux à long terme. Considérez des cas concrets, comme une start-up technologique qui privilégierait une Kabushiki Kaisha pour sa crédibilité face aux investisseurs, mais une petite entreprise de services locaux pourrait opter pour une Godo Kaisha pour sa simplicité. Il est conseillé de solliciter un conseil juridique professionnel pour aligner votre choix avec votre stratégie commerciale.

Envie de donner une dimension internationale à votre projet d’entreprise et d’explorer de nouvelles opportunités commerciales ? Je mets à votre disposition mon expertise pour vous accompagner dans toutes les étapes de la création de votre société à l’étranger. Profitez de conseils personnalisés adaptés à votre vision et à vos besoins particuliers. N’hésitez pas à me contacter pour un premier échange sans engagement et ensemble, donnons vie à vos ambitions entrepreneuriales !

Décharge de responsabilité : Les informations fournies sur ce site web sont présentées à titre informatif uniquement et ne constituent en aucun cas des conseils financiers, juridiques ou professionnels. Nous vous encourageons à consulter des experts qualifiés avant de prendre des décisions d'investissement, immobilières ou d'expatriation. Bien que nous nous efforcions de maintenir des informations à jour et précises, nous ne garantissons pas l'exhaustivité, l'exactitude ou l'actualité des contenus proposés. L'investissement et l'expatriation comportant des risques, nous déclinons toute responsabilité pour les pertes ou dommages éventuels découlant de l'utilisation de ce site. Votre utilisation de ce site confirme votre acceptation de ces conditions et votre compréhension des risques associés.

A propos de l'auteur
Cyril Jarnias

Cyril Jarnias est un expert indépendant en gestion de patrimoine internationale avec plus de 20 ans d'expérience. Expatrié, il se consacre à aider les particuliers et les chefs d'entreprise à construire, protéger et transmettre leur patrimoine en toute sérénité.

Sur son site cyriljarnias.com, il développe son expertise sur l’immobilier international, la création de société à l’étranger et l’expatriation.

Grâce à son expertise, il offre des conseils avisés pour optimiser la gestion patrimoniale de ses clients. Cyril Jarnias est également reconnu pour ses interventions dans de nombreux médias prestigieux tels que BFM Business, les Français de l’étranger, Le Figaro, Les Echos ou encore Mieux vivre votre argent, où il partage ses connaissances et son savoir-faire en matière de gestion de patrimoine.

Retrouvez-moi sur les réseaux sociaux :
  • LinkedIn
  • Twitter
  • YouTube
Nos guides :